dimanche 24 mars 2019

Contenu prévisionnel des paniers de la semaine du 27/3

LÉGUMES

Panier à 8.00 €
600g d’épinards,500g d'endives, 1 botte de navets
1 salade,1kg pdt,1 chou frisé
200g d’échalotes

Panier à 12.00 €
800g d’épinards,500g d'endives,1 botte de navets
1 salade, 1kg pdt, 1 chou frise, 200g d'échalotes
1kg de carottes, 750g de bette italienne

Panier à 16.00 €
800g d’épinards, 1kg d'endives, 1 botte de navets
1 salade, 1kg pdt,1 chou frisé, 400g d'échalotes
750g de poireaux, 1kg de bette italienne
1kg de carottes

dimanche 10 mars 2019

Contenu prévisionnel des paniers du 13/3

Panier à 8.00€
600g d'épinards, 200g de mâche
600g de carottes, 600g de bettes italienne
1 botte de radis, 1kg pdt

Panier à 128.00€
800g d'épinards,300g de mâche
1kg pdt, 1kg de carottes
800g de bettes, 1 botte de radis
500g d'endives

Panier à 16.00€
1kg d'épinards,300g de mâche
2kg pdt, 1kg de carottes
1kg de bettes italienne,2 botte de radis
1kg d'endives

jeudi 7 mars 2019

Les vertus du petit épeautre


Attention à ne pas confondre avec l’épeautre, ou grand épeautre, qui ne bénéficie pas des mêmes qualités nutritionnelles. Une IGP (indication géographique protégée) s’est mise en place pour désigner la zone géographique de production du petit épeautre (dans le sud-est de la France, à plus de 400 m d’altitude). Le rendement du petit épeautre est inférieur à celui du grand épeautre, ce qui explique son prix relativement élevé.


Voici 6 bonnes raisons d'adopter le petit épeautre :

Il est riche en protéines
Il contient les 8 acides aminés (ces composants des protéines) essentiels à l’organisme : tryptophane, lysine, méthionine, phénylalanine, thréonine, valine, leucine et isoleucine. Le petit épeautre, fait partie des rares céréales à les associer. Un atout de choix pour les véganes.

Il nous aide à faire le plein de minéraux et vitamines
Dans 100 g de petit épeautre, on trouve 120 mg de magnésium, 440 mg de phosphore (soit la moitié de nos besoins quotidiens) et 100 mg de calcium. Or, le magnésium est un antistress, le phosphore participe à notre activité cérébrale et le calcium à notre métabolisme osseux. Il contient aussi des quantités non négligeables de vitamines, en particulier celles du groupe B, mais aussi la vitamine E.

Il lutte contre le vieillissement
Il est riche en caroténoïdes (qui lui donnent sa couleur légèrement orangée), mais aussi en lutéine, un pigment qui protège notre vision et dont la consommation est recommandée dans la prévention de la DMLA (dégénérescence maculaire liée à l'âge). Il contient aussi d’autres éléments aux propriétés antioxydantes, permettant de lutter contre les radicaux libres, parmi eux, le fer et le zinc.

Il nous aide à digérer
Très riche en fibres (10,3 g pour 100 g), le petit épeautre facilite le transit intestinal, mais aussi la sensation de satiété. En grain il se cuisine comme du riz, mais sa cuisson est longue (environ 45 minutes).

Il est pauvre en gluten
La teneur en gluten du petit épeautre est d’environ 7 %. C’est un atout pour les personnes hypersensibles, qui souhaitent éviter les désagréments associés à la consommation de gluten, d’autant plus que, n’ayant que peu changé au fil des siècles, celui qu'il contient est mieux assimilé que celui du blé. On ne peut toutefois pas le conseiller en cas de maladie cœliaque. L'inconvénient de cette faible teneur en gluten est que la farine de petit épeautre a tendance à moins lever (dans les pains ou les gâteaux) que celle de la farine de blé.

Il n’a pas subi de modification génétique
Le petit épeautre, de son nom latin Triticum monococcum, et aussi appelé « engrain », est une céréale de la famille des graminées et parmi les premières cultivées par l’homme, il y a environ 10 000 ans. Depuis, et contrairement aux autres céréales, il n’a pas subi de modification génétique.

Vous pouvez en commander, distribution le Mercredi 30/3 (ou le 10/04)

mercredi 6 mars 2019

Dérèglement climatique

Le dérèglement climatique peut se constater très clairement. Ci dessous un extrait de lettre de notre producteur d'agrumes en Corse et quelques photos.

"Depuis que ma production d’agrumes alimente quelques AMAPS sur le continent, je n’ai de cesse de vous informer sur les effets du dérèglement climatique. L’impact sur les cultures se fait de plus en plus ressentir. 

Pour preuve, s’il en faut encore, ces températures hors du commun en février dont beaucoup d’entre nous s’en réjouissent car ils peuvent profiter des joies de l’eau. Il serait opportun que la population s’en inquiète un peu plus, se pose les bonnes questions et agisse pour préserver ce qui peut encore l’être.  

Vous pouvez constater que début février des fraises plein champ étaient prêtes à être consommées, et que les fleurs de pêchers attiraient déjà les bourdons. 



Ces photos laissent sous-entendre que nous n’avons pas eu de température très basse. Faux, les nuits sont très froides avec parfois même des gelées matinales. Mais les journées sont très chaudes de 15 à 20°. Les plantes, pour sortir de leur phase de repos végétatif ont besoin d’une température du sol de l’ordre de 10 à 12° et depuis quelques semaine c’est le cas. De plus un aspect favorisant cette reprise de la vie est le delta entre les températures nocturnes et diurnes aujourd’hui très élevé.

Tout ceci explique les récoltes de plus en plus précoces et des fins de saisons prématurées. La récolte de clémentine s’achève en décembre, celle d’oranges en janvier et celle de pomelos en mars avril qui étaient les dates de début de récolte pour ces derniers il y a encore seulement 5 à 6 ans."